Ton voyage sur terre fut de courte durée D'hôpital en clinique la route était brutale Que de souffrances tues , pour une issue fatale Oh ! mon enfant chéri , Oh ! ma fille adorée .
Comme les naufragés , roulés à l'infini Ta vie s'est écoulée vers les fonds désolés De l'angoisse perfide et du mal meurtrier . Céci tu demandais juste un peu de répit .
Point de douces éclaircies sous tes cieux ombrageux De la mélancolie dans le bleu de tes yeux Le courage et l'effort de lutter pour la vie .
Tu nous laisses des mots en bouquet de misère Diaporamas , tableaux , mosaïques légères Et au coeur de ton père , la douleur qui meurtrit .
C'est très émouvant, très déchirant ; Il en faut du courage pour affronter cette épreuve, la plus terrible qui soit pour des parents ! En parler, parfois, apporte un peu de baume au cœur. Pensée d'une ancienne du collège Nicole Notari (J'arrive ici par hasard, en suivant les liens de Claude Iconomou, étant moi-même sur blog sous le pseudo de Sido )
C'est très émouvant, très déchirant ; Il en faut du courage pour affronter cette épreuve, la plus terrible qui soit pour des parents ! En parler, parfois, apporte un peu de baume au cœur.
RépondreSupprimerPensée d'une ancienne du collège
Nicole Notari
(J'arrive ici par hasard, en suivant les liens de Claude Iconomou, étant moi-même sur blog sous le pseudo de Sido )